Notre trajet de 25 h de vol (sans film ni jaccuzi) s’est révélé rocambolesque …
Pour commencer, nous avons dû laisser quelques kilos de trop à l’aéroport de Paris : nos beaux yeux n’ont pas suffi !
Puis, peut-être vous êtes-vous déjà demandé comme nous, pourquoi certaines personnes à l’aéroport étaient appelées au microphone juste avant le décollage : maintenant que nous l’avons expérimenté dès notre première escale à Madrid : nous avons une explication ! Les stewards nous ont gentiment dit que nous ne pouvions pas entrer au Chili sans visa ni billet retour : gloups. L’avion décolle dans une heure, tout est bien ! Après avoir appelé en France d’une cabine à pièces (si si, ça existe encore), nous avons acheté in extremis 2 billets et sommes entrés les derniers dans l’avion, juste avant de décoller.
Lors de notre deuxième escale à Buenos Aires, personne ne nous appelle, ouf. Mais, pourquoi nos billets électroniques bippent-ils au moment d’entrer dans l’avion ; et pourquoi nous met-on de côté alors que tous les autres passagers entrent tranquillement ? Et pourquoi une dame part-elle avec nos billets d’avion ? La voilà qui revient avec d’autres billets d’avion, mais ils bippent toujours… Ouf, la steward choisit de fermer les yeux et de nous laisser entrer (quand même).
Quelques heures plus tard : ça y est : Youhouhou !!! Santiago est à nous et nous sommes à Santiago ! Et la bonne surprise, Romain et Rena qui nous accueillent nous attendent avec leurs enfants et… nos valises aussi !
Trop de la balle les voyage de 24h ! Le mien en direction de la Polynésie était plus calme !
Heureux d’apprendre votre arrivée dans ce beau pays, nos prières vous accompagnent.
Bonne chance et vive la vie !